•••••••••••••••••••• Attention
Lux A. Wildermann
est derrière toi!
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| Sujet: Lux - A new magic woman in town :) Mar 7 Déc - 20:37 | |
| CARTE D'IDENTITÉ
NOM DE FAMILLE ♦ Wildermann. PRÉNOM(S) ♦ Lux Azalea. AGE & DATE DE NAISSANCE ♦ le 11 septembre 2194, 26 ans SIGNE ASTROLOGIQUE ♦ Vierge LIEU DE NAISSANCE ♦ Londres NATIONALITÉ ♦ Anglaise SANG ♦ née moldu. CLASSE SOCIALE ♦ moyenSITUATION ♦ célibataire, en couple, marié, amoureux etc.... PROFESSION ♦ autres métiers SIGNE(S) PARTICULIER(S) ♦ piercings aux deux oreilles MAISON ♦ indiquez la maison dans laquelle vous aimeriez vous trouver, si vous ne savez pas, on peut s'en charger. Vérifiez néanmoins à ce qu'il n'y ai pas trop de monde dans la maison désirée. C'EST CE QUI FAIT MON CHARME
DÉFAUTS : La liste risque d'être longue && pénible mais allons-y. Pour commencer, disons que je suis sensible && susceptible. Tout de même plus sensible que susceptible, mais je trouve que les deux forment un tout. Pour étayer ma sensibilité, disons que tout ce qui touche à l'enfance est un sujet difficile pour moi. Au regard de mon histoire, vous comprendrez pourquoi... Ensuite, je dirais que je suis franche. Je n'hésite pas à dire ce que je pense même si ça en blesse certain. Un jour, j'ai même fait très mal à une personne qui me considérait comme sa meilleure amie. Je la considérais également comme ma meilleure amie mais ce qu'elle m'a fait m'a profondément blessée. Je n'arrive toujours pas à croire que ça m'est arrivé... En bref, la fille en question m'a fait croire qu'elle était proche de moi alors que ce n'était pas tellement le cas. Et pour cause! Elle est sortie avec un garçon que j'affectionnais tout particulièrement. On en parlait depuis des jours && elle a décidé de tenter l'aventure à ma place. Enfin bref, je suis allée trouver cette personne && avec tout ce que j'avais sur le coeur, nos explications furent explosives... Je peux ajouter à cette liste, que je suis réservée. Je sais c'est à l'antipode d'être franche, enfin d'une certaine façon... Il y a simplement certaines sujets sur lesquels je ne peux pas m'exprimer. Comme je l'ai déjà souligné, tout ce qui touche à l'enfance m'est compliqué. De par le fait que ma seizième année a été un réel cauchemar pour moi, mais aussi parce que mon enfance n'a pas été des plus joyeuses, vous en apprendrez plus en vous référant à mon histoire. Et un dernier défaut, même si cela ne devrait pas être le dernier à être ajouté à ma liste... Je suis extrêmement gourmande. Si du chocolat est à moins de dix mètres de moi, il ne fera pas long feu. Etant enfant, je m'arrangeais toujours pour qu'il reste un minimum d'une raie de la plaque de chocolat que j'avais engloutie. Mes parents n'y faisaient pas de cas, enfin ils ne l'ont pas fait jusqu'à mes cinq ans. Là, tout a changé dans ma vie... Mais c'est une autre histoire...
QUALITÉS : Autant dire que je n'ai pas tellement de qualités, ou alors, je sais comme la plupart des personnes, je n'aime pas les mettre an avant. Je vais donc commencer par cela : la modestie. Dit comme ça, ça sonne bien plus comme un défaut mais c'est pour cela que des explications s’imposent. Pour illustrer ce fait, je dirais que je déteste m'attribuer les mérites de quelque chose, même si j'en suis l'investigatrice. C'est à l'opposé de la véritable pensée d'une journaliste mais c'est pourtant vrai. Ensuite, disons que je suis attentionnée. Etant petite, jamais je n'aurais pensé faire plaisir à mes parents. Je leur en voulait trop. Il m'ont privé d'enfance, ils ont fait de moi quelqu'un que je n'étais pas && que je ne voulais pas être. Aujourd'hui, tout est différent. Enfin, ce n'est pas à mes parents que je ferai plaisir mais je peux comprendre leur réaction de ces années difficiles. J'ajouterais à ceci, que je suis curieuse. Dans mon métier, c'est une qualité essentielle. Pas la peine d'être journaliste si vous n'avez pas la première caractéristique requise. Je me documente sur tout && rien && surtout sur les évènements les moins expliqués. J'adore chercher le pourquoi du comment && bien sur, quand j'y arrive, je suis fière de moi. Ce qui n'est pas souvent le cas... Pour conclure tout ceci, j'ajouterai seulement que je suis souriante && que j'essaye que chaque jour soit unique. Un sourire ne fait pas de mal, bien au contraire alors souriez mes amis!
PÈRE CASTOR, RACONTE-NOUS UNE HISTOIRE
Tout commence le 11 septembre 2194 à Londres. Je suis la seconde enfant des Wildermann. Et cette caractéristique n'a pour le moment que l'apparence d'un détail, mais c'est bien loin d'être le cas. Autant dire tout de suite que mon enfance est une partie de ma vie que je préfère oublier. Ou tout du moins sur laquelle je veux tirer un trait. Et pour cause! Mes parents avaient perdu ma jeune soeur. Quand je dis 'perdue', c'est plutôt que ma soeur a été kidnappée. Et si les Wuldermann ont voulu un autre enfant, c'est simplement pour remplacer celui qu'ils venaient de perdre. Ils ont tout de même attendu six ans avant de se décider. Et aujourd'hui, je ne les comprends toujours pas entièrement... Mais pour en revenir à mes premiers pas dans ce monde, autant dire que j'ai détesté être enfant. Les Wildermann ont fait de moi ce que je n'étais pas. Ils voulaient tout simplement remplacer la fille qu'ont leur avait enlevée. Mon enfance a été ponctuée par l'absence d'une personne que je ne connaissais même pas. Je devais me vêtir comme elle, tout faire comme ma soeur le faisait. A tel point qu'avant ma rencontre avec elle, je refusais de l'appeler 'ma soeur'. Pour moi, elle était celle qui m'avait volé mon enfance, ma vie. Je ne suis pour rien dans son enlèvement && je ne voyais pas pourquoi je devais payer les pots cassés de sa disparition. Mes parents n'étaient pas de cet avis. Je m'étonne même qu'ils ne m'aient pas appelée comme elle. Surement que l'état civil n'a pas voulu.
Mes parents avaient leur façon bien à eux pour faire face à la situation. Ma mère me prenait pour Leyla && mon père se réfugiait dans son bureau. Résultat, tout ce que je sais de mes parents reposent sur un comportement de tristesse démesuré. Je sais mieux que personne, ce qu'on ressent à la perte d'un enfant... Mais ça n'excuse en rien leur conduite envers moi. Si ils m'ont voulu, c'était seulement pour remplacer Leyla, je ne leur pardonerai jamais...
Quand Leyla entra à Poudlard, les Wildermann en eurent vent && ils ont tout fait pour reprendre cette fille qui leur avait été enlevée. J'ai très mal vécu ce moment, à l'époque, j'avais cinq ans. Je menais une guerre sans merci contre ma famille, ou ce qui devait l'être. Déjà à l'époque, je leur en voulais plus que de raison. Je détestais mes parents pour ce qu'ils avaient fait de moi. Ils m'ont façonnée à l'image d'une fille kidnappée. Mon enfance n'a pas été MON enfance à proprement parler. J'ai vécu jusqu'à cinq ans en tant que Leyla && non en tant que moi, simplement. J'attendais impatiemment mon entrée à Poudlard mais il me restait encore six longues années à patienter. Et ces six années furent pire que les cinq premières. Aux yeux des Wildermann, tout ce qui importait était d'avoir retrouvé Leyla. Je passais en second quand on pensait à moi. Mes parents m'ont complètement abandonnée après le retour de 'ma soeur'. A cette époque, je détestais celle qui m'avait volé la place. Même si jusqu'à présent je vivais la vie d'une autre, au moins les Wildermann me regardaient, j'existais à leurs yeux, certes en tant que Leyla mais j'existais. Dès que miss Leyla est revenue chez nous, il n'y en avait que pour elle. Ma vie à cette époque reste une période très noire de mon existence. C'est pour cela que je préfère tirer un trait sur toute cette histoire. Mes rapports avec celle qui était censé être ma soeur, étaient conflictuels quand on s'adressait la parole. Maintenant, je sais qu'elle devait se dire que j'avais pris sa place && que nos parents l'ont aisément remplacée. Nous étions au moins d'accord sur un point : les Wildermann n'ont pas eu la bonne réaction. Je ne dis qu'ils n'aurait pas dû avoir de second enfant, mais ne pas faire un autre enfant pour remplacer celui disparu. Je pensais déjà la même chose à cinq ans même si je ne le formulais pas de la sorte.
Jusqu'à mes quinze ans, && donc mon entrée à Poudlard, ma vie était un véritable cauchemar. Lorsque mes parents concédaient à m'adresser la parole, c'était pour me demander ce que j'avais fait avec Leyla ou comme Leyla. Pour eux, je n'ai jamais été une véritable personne, && je leur en voudrai toujours pour tout ce qu'ils m'ont fait. Autant dire que quinzième anniversaire était plus que souhaité..
Mon adolescence n'a pas non plus été de tout repos. Comme le malheur ne frappe pas qu'une fois sur la même personne, j'ai eu le droit à ma part de tristesse. Mais avant tout cela, j'attendais impatiemment mon entrée à Poudlard. J'allais enfin pouvoir m'affirmer en tant que personne à part entière. Dès l'arrivée de ma soeur à la maison, ma vie a encore changé. Les Wildermann étaient toujours après elle, à la chouchouter && c'est à peine si j'existais. J'étais persuadée que si je n'étais pas avec eux à table, par exemple, ils ne le remarqueraient même pas. Concernant la relation que j'avais avec celle qu'à l'époque, je refusais d'appeler ma soeur, disons qu'elle était chaotique. Je préférais ne pas lui adresser la parole. Même à cinq ans, je savais que je la détestais. Après tout, c'était à cause d'elle que je n'avais pas de vie, ou tout du moins que je n'avais pas pu être moi.
Ma vie prit un tournant différent à mon entrée à l'école des sorciers. Je voyais ce changement comme une délivrance. Je pourrai enfin exister, être tout à fait moi, sans avoir à vivre comme étant une autre personne. On peut croire que c'était compliqué, mais le changement s'est opéré simplement && naturellement. J'avais tellement attendu && espéré ce moment, que je me sentais heureuse comme jamais je ne l'avais été. Jusqu'à mes seize ans, je ne parlais toujours pas à ma soeur, je refusais d'ailleurs de l'appeler 'ma soeur'. Pour moi, elle n'existait toujours pas. A mes yeux, rien n'était pire que tout ce qu'elle m'a fait subir. Après tout, tout était de sa faute si nos parents me prenaient pour elle. Maintenant, j'ai un regard bien différent sur la situation. Mais à l'époque, j'étais bornée && trop révoltée pour qu'on me dicte ma conduite.
Mes premières années à Poudlard sont devenues les meilleures de toute ma vie. Jusqu'à mon seizième anniversaire, tout était merveilleux && parfait à Poudlard. Le seul hic était quand il fallait rentrer chez moi pour les vacances. D'ailleurs, je ne considérais pas que chez les Wildermann était chez moi. A l'approche des vacances, j'étais toujours survoltée, une vraie pile électrique. Je ne supportais pas le fait de devoir rentrer chez eux, je ne m'y sentais pas bien, là-bas,je redevenais la fille exécrable que personne ne connait à Poudlard. Mais en revenant à Poudlard, mon chez moi comme je l'appelais, les Serdaigle redevenaient ma famille. Parce que j'étais une Serdaigle && fière de l'être! Ma maison m'a aidée à tout extérioriser, certes pas de la meilleure façon qui soi, mais la haine que je portais à ma famille biologique s'estompait lorsque j'étais une bleue && argent. Mais ma vie ne resta pas belle comme je l'espérais...
J'ai fêté mon seizième anniversaire comme n'importe quel autre sorcier. A un détail près, ma mère avait marqué 'Leyla' sur mon gâteau d'anniversaire. Ça non plus, je ne lui ai toujours pas pardonné. Mais ce ne fut pas le pire... A Poudlard, j'avais un meilleur ami. Celui à qui je pouvais tout dire celui à qui je faisais entièrement confiance. Ce qui avec moi, n'est pas une petite chose! Bien sur, il ne me connaissait pas complètement, de sorte qu'il ne savait que le minimum à mon sujet mais je lui aurais donné ma vie si il avait fallu... Mes sentiments envers Lewis ont évolué avec le temps. Etant dans la même maison, nous nous voyions un maximum de temps. Nous passions tout notre temps libre ensemble mais tout allait changé de jour au lendemain... Ses sentiments ont aussi évolué && nous avons décidé de devenir plus que de simples amis. Et nous avons sauté le pas durant ma seizième année. La conséquence en fut telle, que je fus dévastée par ce qui se passa ensuite... Je suis tombée enceinte, je portais un enfant, enfin il n'en n'était pas encore à ce stade mais il allait le devenir si les choses n'avaient pas pris le tournant qu'elles ont pris. La nouvelle m'a inquiétée au début, mais ensuite, je me suis dit que Lewis && moi allions former un super couple && allions être de super parents. Mais mes plans étaient trop beaux pour être vrais. Quand j'annonçai la nouvelle à Lewis, il ne répondit pas tout de suite. Mais j'avais lu dans ses yeux qu'il ne voulait pas de cet enfant. Je ne m'étais pas trompée... Le lendemain, celui qui avait été jadis mon meilleur ami, ne m'adressa plus du tout la parole. Il fit comme si je n'existais pas. Cette situation me traumatisa au plus haut point. Je sais ce que ça fait d'être inexistante aux yeux d'une personne, mais je ne pouvais croire que ça recommençait avec lui. Je me sentais désemparée, délaissée, abandonnée. La seule personne sur qui j'avais pu compter durant toutes ces années me laissait tomber sous prétexte de ne pas être prêt à assumer. Même si il ne m'a pas donné son point de vue sur la situation, je sais ce que ça sous entend. Que devais-je faire ? Devais garder cet enfant ? Je me voyais très mal l'élever toute seule, surtout dans l'ambiance que la famille Parker dégageait.
Ce qui arriva ensuite me surpris de la bonne manière. Je n'avais plus personne vers qui me tourner. Et la seule personne à qui je ne pensais pas pour m'aider, m'aida tout de même. Comme je m'y attendais, les Wildermann ne remarquèrent pas du tout que mon comportement n'était plus le même. J'étais passive à tout ce qu'on me présentais. Moi, ordinairement si énergique à vouloir faire payer mes parents, je n'avais plus goût à rien. Leyla le remarqua. Et un jour pas comme les autres, qui deviendra LE jour qui changea tout, celle que j'arrive désormais à nommer 'ma soeur' m'aida. Leyla avait remarqué que je n'étais plus la même depuis quelque temps. Je ne sais toujours pas pourquoi je me suis tournée vers elle pour résoudre ce 'problème', mais je l'ai fait, && j'ai bien fait. Leyla a su me conseiller && elle est la seule à ce jour, à connaitre toute la vérité sur toute cette histoire. Ma soeur m'a accompagnée pour avorter && ma vie changea de nouveau après cela. Je compris que rien ne servait d'en vouloir à la terre entière pour ce que m'avaient fait les Wildermann. Je n'en voulais plus du tout à Leyla,je compris que tout était de la faute de nos parents && je ne devais rien lui reprocher.
La perte de cet enfant, qui n'en n'était pas tout à fait un, fit que ma dernière année à Poudlard fut très mouvementée. Je mettais un point d'honneur à ne plus adresser la parole à Lewis, il m'a trop blessée pour qu'un jour, je ne lui reparle. J'ai obtenu mes ASPICS comme je le voulais. Je ne vivais plus que pour réaliser mon rêve : devenir journaliste.
Une fois mes ASPICS en poche, je ne pouvais plus supporter de vivre chez les Wildermann. Ceux qui devaient être ma famille ne l'a jamais réellement été. Je ne me voyais pas vivre chez eux un instant de plus. J'ai donc tout fait pour trouver un petit job qui me permettrait de payer un loyer, de me gérer, de devenir indépendante. Et ce travail consistait à vendre des livres à des sorciers. Et oui, je ne voulais pas renier mes origines magiques, si j'ai survécu, c'est grâce à cela. La boutique était gérée par un couple de sorciers fort bien sympathiques. Je rigolais bien avec eux, je me sentais presque épanouie. Ne voulant pas oublier mon objectif qui était de devenir journaliste, en parallèle avec mon travail, j'interviewais toutes sortes de personnes, influentes ou non, toujours en rapport avec le monde magique.
J'ai décidé de tenter le coup pour la Gazette, l'année de mes 20 ans. Le directeur a été impressionné par la hargne que je mets à dégoter des sujets intéressants. Il m'a tout de suite engagée, pour commencer à l'essai mais finalement, je travaille toujours là-bas. J'ai pour rôle d'interroger des personnes plus ou moins influentes du monde magique. Et si j'aime autant ce métier, c'est parce que toutes ces personnes que j'interviewe peuvent s'exprimer sur tout && rien. Elles parlent, s'expriment en tant que personne && jamais je ne déformerai leurs propos, tout ce pour quoi je me bats ne servirait à rien...
J'ai actuellement 26 ans et ma vie est tout ce dont j'ai pu rêver. Je n'ai plus tellement de contact avec les Wildermann. En ce qui concerne Leyla, c'est différent. Ayant été la seule à m'avoir aidé lorsque j'en avais le plus besoin, je ne peux pas la renier. Et je la considère enfin comme ma sœur. Nous nous voyons de temps à autre, mais mon travail à la Gazette du sorcier est très prenant. Je n'arrête pas de courir un peu partout pour dégotter des sujets intéressants. Le métier de journaliste est loin d'être de tout repos. Heureusement que j'ai passer mon permis de transplanage quand j'étais à Poudlard, sinon je serais bien handicapée à l'heure qu'il est. Toujours est-il que ma vie actuelle est tout ce dont j'ai toujours rêvé, sauf peut-être l'amour. Il est absent pour le moment. L'amour d'un homme sous-entend. Depuis que Lewis m'a abandonnée comme il l'a fait, je n'arrive plus à faire confiance à un homme. Si il y en a un qui m'approche, je le fuis. Ou alors je suis très défensive. Mais j'espère tout de même pouvoir rencontrer l'amour véritable très bientôt... QUI SE CACHE DERRIÈRE SON ÉCRAN ?
FT. ♦ Heather Morris, parce que j'adore son personnage dans Glee et elle est très talentueuse dans beaucoup de domaines.PRÉNOM / PSEUDO ♦ Hidden Passion AGE ♦ 20 bougies AVIS GÉNÉRAL SUR LE FORUM ♦ super design et j'aime déjà l'admin (aa) COMMENT AS TU ATTERRI ICI ? ♦ Channel m'a passé l'adresse.POURQUOI T'ES TU INSCRIT(E) ? ♦ parce que j'adore l'univers de HP <3POSTE VACANT OU PERSONNAGE INVENTE ? ♦ Personnage inventé. NIVEAU DE RP ♦ je suis bien incapable de me noter. EXEMPLE DE RP ♦ - Spoiler:
La journée s'annonçait difficile. Ou tout du moins le moment de la confrontation. Je voulais y passer vite pour vite terminer mais je sens que finalement, je ne veux pas y passer du tout. Ce n'est pas que la mère de Dylan me fait peur, c'est plutôt ses questions qui m'effraient. J'ai surtout peur de ses réactions. Je ne veux pas qu'elle me juge sur mes erreurs passées. Enfin, elle a le droit de me juger, mais je ne suis plus la même fille que j'étais il y a quatre ans. J'ai changé. Ma décision de garder Heaven est restée la même, aucun doute là-dessus, c'est juste que me juger sur mes erreurs passées c'est compliqué... C'est compliqué pour moi d'en parler. Et je ne veux pas non plus faire mal à Dylan en reparlant de Jason. Il a assez souffert à cause de mon mensonge, pour en rajouter une fois de plus. Alors forcément parler de Heaven amène à parler de Jason. Alors quand madame Cooper me demanda de venir à côté avec elle, je la suivis, ayant peur de ses questions. Et j'avais raison d'appréhender ce moment. Car madame Cooper commença par me demander comment une jeune femme de mon âge a bien pu se retrouver dans une situation comme celle-ci. Et comme je ne veux pas non plus lui raconter tous les détails de ma vie, je me contente de lui répondre poliment que la vie m'a amenée sur ce chemin, et que j'ai pris ma décision, que jamais je n'ai regretté. Après ça, Dylan arriva. C'est vrai qu'il devait trouver le temps long, tout seul là-bas. Enfin il n'était pas tout seul, mais lui et son beau père, ce n'est vraiment l'amour fou donc... Il se mit à côté de moi et passa un bras derrière mon dos. Il ne dit rien lorsque je répondis que je n'ai jamais regretté d'avoir gardé Heaven. Mais il ajouta ensuite que j'avais peur d'être jugée sur mes erreurs passées. Que ferais-je sans lui ? Il est si prévenant et attentif. Je le savais déjà, mais je ne peux pas vivre sans lui, c'est une certitude. Puis madame Cooper attaqua directement en me demandant ce qu'en pensait Jason. Mais Dylan ne me laissa pas répondre. A vrai dire, je ne voulais pas entrer sur ce terrain là. La réponse risquait de ne pas lui plaire. Enfin, elle sait déjà que j'ai menti alors qu'est-ce qui pourrait être pire ? Dylan ajouta que je conjuguait très bien ma vie. Il a si confiance en moi, que cela me fit sourire. C'est vrai qu'il y a des jours, ce n'est pas la joie mais on fait avec. Et la vie c'est ça après tout. Remplie de bonheur et de malheurs, tout le monde doit y faire face à l'aide de ses propres moyens. Pour ma part, j'essaye de faire face à l'adversité de front. Enfin, quand il s'agit de Heaven, je m'emballe vite. Je sais que je ne devrais pas, mais je n'arrive pas à me contrôler quand il s'agit d'elle. C'est la même chose quand il s'agit de Dylan. Je pars vite au quart de tour quand l'un des deux est en cause. C'est mon côté impulsif qui refait surface dans ces moments là. Pour en revenir au moment présent, je dois bien avouer que la présence de Dylan à mes côtés, me rassurait. Il coupa court à la discussion que j'avais commencé avec sa mère, et c'est pourquoi, une fois qu'elle fut de nouveau à table, je souris à Dylan pour lui dire :
Merci.
Avant cela, sa mère lui avait pris la joue comme si il avait encore cinq ans. Ça m'avait fait rigoler. Je fais souvent ce genre de choses avec Heaven. Mais à ce sujet, Dylan me dit quelque chose, ce à quoi, je lui répond :
Non, je ne veux plus jamais être seule avec ta mère. Je veux dire, elle est adorable, mais ses questions sont gênantes. Enfin... Tu sais que je déteste parler de moi, et surtout de mon passé, et je sais très bien qu'il faudra y passer, enfin terminer ce qu'elle a commencé mais là... Enfin, tu comprends...
Et voilà, c'est reparti. Je parle et parle encore pour ne rien dire. Ou plutôt pour répéter cent cinquante fois la même chose. Le stress refait surface. Même si il n'est jamais réellement parti.
Toi et ton estomac!
Dis-je ensuite quand Dylan dit qu'il avait faim. C'est comme si il avait un trou sans fond à la place de son système digestif. C'est affolant. C'est la même histoire avec Heaven et les bonbons. Curieusement, dès qu'il s'agit de légumes, Heaven n'a jamais faim. Mais si au même moment on lui propose des bonbons, la petite maligne ne se fait pas prier pour accepter. Je me demande parfois comment ça se fait que ma fille tienne autant de Dylan. Pour répondre à sa proposition d'aller faire un tour après manger, je souris et lui dis :
Tu pourras me montrer tout ce que tu faisais quand tu étais petit, tes cabanes dans les arbres, tes plus noirs secrets... Je vais tout savoir!
Je plaisantais, bien sur, en disant ça. Enfin si, je veux en savoir plus sur Dylan mais de là à connaître ses plus noirs secrets, je ne pense pas être prête. Et chacun doit garder une part de mystère. Je vais juste m'amuser à découvrir tout ce qu'il faisait quand il était petit. De toute manière, ça ne peut pas être pire que ce que je faisais avec ma grande sœur. On en a tellement fait que je ne compte plus le nombre de bêtises qu'on a bien pu faire subir à nos parents. C'était le bon vieux temps. Un temps révolu. Enfin, pas tant révolu que ça finalement... Kayla est toujours aussi fofolle qu'auparavant, et pour ma part, j'en tiens une couche aussi. Il n'y a qu'à me voir avec June. Oula, en fait, mieux vaut ne pas me voir quand je discute avec elle. Je dis tellement de bêtises que heureusement que personne ne nous entend. Et encore moins Heaven ou Dylan!
Dylan soupira ne demandant ce que je ferais sans lui. A cela, que répondre ? Puis il m'embrassa. Je n'avais définitivement rien à répondre à cette question rhétorique. D'ailleurs, il connait déjà ma réponse. Je ne suis rien sans lui, il compte plus que tout et le jour où il s'en ira, je ne m'en remettrais pas. Dit de cette manière, on croirait entendre un discours de petite fille. Mais quand on a vécu ce que Dylan et moi avons vécu, je peux vous dire que vous diriez la même chose. Passer tout ce temps sans lui, m'a réellement ouvert les yeux sur ce qui est important pour moi. Et la réponse immédiate c'est : lui! Sans oublier Heaven et June. Et ma sœur, Kayla. Quant à Jason, il est important aussi, mais pas autant qu'avant. Je me rend compte que de le dire comme ça est assez horrible. Mais il ne compte plus autant qu'avant à mes yeux. Il est important pour Heaven d'apprendre à connaître son papa, je ne dis pas le contraire, mais mes sentiments à son égard ont beaucoup évolué. Et aujourd'hui, je sais que Dylan est le plus important. Jamais je ne pourra vivre sans lui, jamais...
Après notre baiser, nous retournâmes à table. Dylan a faim, il faut qu'il mange xD. J'espère juste que sa mère ne continuera pas avec ses questions sur Jason. Elle a eu la délicatesse de me prendre à part, et je lui en suis reconnaissante. Heaven n'a pas à prendre part à nos discussions d'adultes.
Donc, une fois à table, je repris ma place aux côtés de Heaven et Dylan. Madame Cooper servit l'entrée et tout le monde commença à manger. Monsieur Cooper n'avais toujours pas décroché un mot depuis notre arrivée. Ce que je trouve déplacé. Il aurait au moins pu parler à Dylan lorsque sa femme et moi discutions plus loin. Mais non, rien... C'est pourquoi, je fus très surprise qu'il ouvre la bouche pour dire :
Alors Tara, vous êtes en journalisme avec Dylan. C'est intéressant ? C'est vraiment ce que vous voulez faire plus tard ?
Ce n'est pas que sa question était déplacée ou quoique ce soit d'autre, mais entendre sa voix pour la première fois depuis notre arrivée, c'est étrange. Mais je souris avant de m'apprêter à lui répondre. Mais avant que je n'ai eu le temps de dire quoique ce soit, Heaven prit la parole à ma place :
Ma maman, elle sera une grande journaliste. Elle parle tout le temps avec plein de monde et elle est très forte!
Alala, elle me fit rire. C'est surtout son «elle est trop forte» qui me fit cet effet là. Ma fille est unique, c'est elle qui est trop forte xD. Je devais tout de même répondre à monsieur Cooper. Donc je souris et ajoutai :
Oui, c'est très intéressant, et je fais tout pour y arriver. Mais c'est une formation difficile où il fait beaucoup bouger. Mais pour le moment, c'est vraiment ce que je veux faire. Depuis toute petite, je m'exerce à écrire des articles comme le font les vrais journalistes. Mais l'avenir nous dira si c'est vraiment ma vocation.
C'est sans évoquer notre prof de journalisme qui fait exprès de me séparer de Dylan à chaque fois qu'il nous voit parler tous les deux. Il trouve toujours une occasion de m'envoyer faire un petit tour à la salle des archives. Je la connais par cœur maintenant. Je ne sais pas du tout ce qui le pousse à nous faire ça, à Dylan et à moi, mais tant que ça ne va pas plus loin que la salle des archives, je supportes. Bien que je déteste ne pas voir Dylan de la journée. Nous avons beau être dans la même filière, notre emploi du temps est complètement différent. Alors si ce prof nous sépare durant le cours de journalisme, il arrive qu'on ne se voit pas de la journée à cause de lui. Ce qui a le don de m'énerver sérieusement. Mais bon, pour en revenir à l'instant présent, disons que parler de ce prof n'est pas le sujet. Le stress n'était toujours pas aux abonnés absents. J'attendais le moment où la mère de Dylan reprendrait la parole pour me poser une de ses questions dont elle a le secret. Mais rien ne se passa. Nous mangions tranquillement, jusqu'à ce qu'elle apporte le plat de résistance. Je me suis levée pour aller l'aider mais elle me répondit poliment que je pouvais retourner m'assoir. Je fis donc ce qu'elle me demandait, puis elle revint s'assoir à nos côtés...
Dernière édition par Lux A. Wildermann le Dim 12 Déc - 16:10, édité 6 fois |
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